
Un jour j'irai là où rien à encore commencer pour moi, là où nature et liberté se rime au vent de la poésie, là où rien n'est plus agréable que de se sentir bien et revivre.. là où qui sait rien n'aura de fin. Peut-être même que là où je serai la vie continuera et me comblera amplement. D'un sac vide, une paire de bottes souillées, un bic mâchouillé et d'une feuille chiffonnée, je pourrai reproduire ce que mon coeur voit autour de lui au point de ne plus pouvoir m'arrêter, je mourrai de joie et de liberté.
Quand alors mon envie et mon courage me prit par la main, j'y suis aller sur cette terre inconnue ne sachant pas du tout à quoi m'attendre mais ce n'étais pas du tout un problème car je savais une chose : j'étais enfin libéré d'un cycle perpétuel et que malgré mes erreurs ici je ne serai pas jugé.. Libre de contemplé ce qui hier était un espoir, aujourd'hui était une réalité.
Pas de gadgets trop superficielle me dis-je, pas de câble réseau qui te passe au dessus de la tête.. Juste du vent, du soleil, des nuages et le plus beau la nature qui est à la portée de la vie et qui ne s'en fait pas car elle est forte et belle, elle se soucis guère de ce que les autres pensent car elle donne vie à ceux qui la respect. Voilà c'est ce que je veux non pas du respect mais de la joie à donner la force dans mon petit coeur qui après deux ans fut mit en pièce à cause d'un caractère, d'une agitation, d'un manque de confiance en soi, m'avait échapper et qui fut perdu à jamais.. Pourtant j'aimais mais ce ne fut pas assez alors mère nature m'a ouvert l'esprit à mûrir et refermer ce qui n'était plus que des portes ouvertes.
Malgré ma reconnaissance je ne fut pas complètement satisfaite, oui j'étais heureuse de découvrir ce qui me parût totalement libre, il me manquait une chose, moi. "Elle ne comprend pas tout, elle vide d'idées, il lui manque sa confiance en elle, son pouvoir d'être elle-même" me dis-je... Tant pis je m'enfuis encore et encore...
Je me suis enfuie,
loin de tout mes soucis,
je pleure de vide,
sans aucune ride,
d'un vent glacial,
je devins bestial,
dans ce corps d'humain,
qui n'est pas très malin.
Je ne cherche rien de matériel surtout pas un humain, tant que je ne peux me connaître comment pourrais-je faire pour en connaître un autre? Pourtant ce n'est pas impossible, on peut tous y arriver encore faut-il y croire..
Enfin le meilleur est que je suis libre et je fus transporté par le vent là où je voulais qui sait être même si cela reste innocent, je me sens coupable sur tout le reste mais jamais je ne regretterai car sans ça rien n'aurait pu être plus sincère que de vider sa tête quand le moment fut de se réveiller et de comprendre que ce n'est encore qu'un rêve plus réaliste que celui de la veille..
Transporte moi encore plus loin et promet moi qu'il n'y aura jamais plus de fin.. Espoir..
desamoursdourson, Posté le dimanche 16 février 2014 14:50
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